Les larmes rouges, tome 2 : Déliquescence de Georgia Caldera

Attention risque de spoilers sur le tome précédent – J’avais passé un bon moment avec le tome 1 et j’ai donc été plutôt contente de retrouver la plume de l’auteure et Cornélia 🙂

couv20199441Editeur : Editions J’ai Lu (764 pages)

Note: 3,75/5

Quatrième de couverture

« Les réminiscences n’étaient que le commencement… »

Le voile a été levé sur les étranges rêves de Cornélia mais elle est plus que jamais en danger. Pourtant, la seule prudence n’est pas ce qui la pousse à rester auprès de Henri. Progressivement, leurs liens se renforcent bien que l’ombre du passé plane sur leur relation…
Pire encore, pour assurer leur protection contre Avoriel, ils doivent retourner à Reddening House où Cornélia a été témoin des horreurs que peuvent commettre ses habitants. Déjà angoissée, la jeune femme se noie de plus en plus dans de bien surprenantes visions…

Mon avis

Un tome 2, c’est toujours un peu délicat surtout lorsqu’on a apprécié le premier. J’avais découvert le premier en ne sachant pas très bien à quoi m’attendre et j’avais réalisé avec surprise que c’était une histoire de vampires. J’ai donc repris cette saga avec en tête le premier tome et surtout une meilleure connaissance du thème.

J’ai retrouvé avec plaisir Cornélia et Henri. Si dans le tome 1 on alternait chapitres du présents et chapitres du passé avec les réminiscences de la vie antérieure de Cornélia, on retrouve ici a peu près le même schéma narratif. Dans ce tome, on fréquente beaucoup plus les vampires que l’on avait rapidement aperçus dans le tome 1. Le personnage d’Henri devient beaucoup plus humain si l’on puit dire. Mais j’avoue que parfois, la relation Henri-Cornélia m’a un peu frustrée. Cette relation prend d’ailleurs beaucoup de place dans ce tome 2 et j’ai eu le sentiment que ce livre était vraiment une romance plus qu’autre chose.

Comme pour le tome 1, j’ai ressenti une sorte de langueur en lisant ce livre. Je ne sais pas trop comment expliquer mais c’est un peu comme si le temps ralentissaitJ’ai eu l’impression que l’histoire se déroulait de façon très lente et pourtant, je ne me suis pas ennuyée une seconde. C’est un peu bizarre comme ressenti. L’intrigue avance lentement et en même temps, on a des révélations surprenantes dans ce livre notamment sur le passé d’Henri.

Cela fait quelques semaines que j’ai lu ce livre et même si j’ai beaucoup aimé pendant ma lecture, j’avoue en ressortir un peu déconcertée car je pense avoir beaucoup plus apprécié ma lecture sur le moment que lorsque j’y pense quelques semaines plus tard. C’est pourtant un très bon tome qui a le mérite de nous en apprendre plus sur les personnages mais qui ne fait pas énormément avancer l’intrigue. Je pense que le côté romance n’est pas la partie qui m’a le plus plu et peut-être qu’une fois l’effet de surprise passé, ma lecture a été moins intense.

Je ne peux que recommander ce deuxième tome à tous ceux qui ont apprécié le premier tome et qui n’attendaient que de voir ce couple prendre plus d’ampleur. Le troisième tome promet d’être explosif et je suis vraiment curieuse de savoir ce qu’il nous réserve.

Mon avis sur les autres tomes: Réminiscences.

32 réflexions sur “Les larmes rouges, tome 2 : Déliquescence de Georgia Caldera

  1. Il faut que je teste cette série, qui a l’air beaucoup moins porté sur la romance que Victorian Fantasy. Car j’avais beaucoup apprécié Victorian Fantasy, mais à postériori je lui trouve quelques défauts.
    Ps: Je viens de réaliser que tu es presque à 1000 likes sur facebook, c’est juste ouf!!!
    Pss: J’ai l’impression de te l’avoir déjà dis. Peut-être que je radote.

  2. Je comprends tout à fait ton ressenti, je te rejoins sur tout les points ! En particulier la langueur, tu as trouvé le mot juste 🙂

  3. Pingback: Les larmes rouges, tome 1 : Réminiscences de Georgia Caldera | La tête dans les livres

  4. Je recommande tellement cette saga. J’ai dévoré les 3 tomes et la série fut un coup de coeur absolu.
    J’aime justement cette « langueur » dont tu parles, on est comme dans du coton, posés, captivés par Henri, Cornélia et leur futur. C’est beau, c’est addictif. Bref, je suis amoureuse de ces romans.

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